• Sur ta peau

                             

                                                                              Auteur Compositeur, Philippe Kireeff

                                                                              Ecouter "Sur ta peau" Duo avec Cathy

     

    Mes mains se promènent  Mes mains sur ta peau.

    Tes mains se promènent  Dans le creux de mon dos.

     

    Sur ta peau de pêche  Mes mains à fleur de peau.

    Tes mains un peu rêches  Un frisson dans le dos.

     

           Mes Mains se souviennent,

           Mes mains, sur ta peau.

     

    Mes mains te caressent  Quand il ne fait pas beau.

    Quand rien ne nous presse  Blottis tous deux au chaud.

     

    Mes mains sur ton visage  Te décrivent un paysage.

    Je ne suis pas une image  Je ne veux pas être sage.

     

             Mes mains se souviennent,

             Mes mains, sur ta peau.

     

    Mes mains t'envisagent  Quand tu me dévisages.

    Et moi prise en otage  Je ne t'en ferais pas outrage.

     

    Mes mains se promènent  Mes mains sur ta peau.

    Tes mains se promènent  Dans le creux de mon dos

     

    Un frisson dans le dos, et ta peau sur ma peau...

     


    5 commentaires
  • Nerfs d'acier et sang perlé

    Le lanceur de couteaux visait juste... un peu haut
    Le lanceur de couteaux buvait parfois... un peu trop.


    Souvent sa main tremblait car son cœur brûlait
    D'un amour secret pour sa cible adorée.
    De chair et de sang, la chair de sa chair
    Il l'avait dans le sang, pas besoin de repère.

    A trente pas, sa norme, ses formes et ses rondeurs
    Sous toutes ses coutures il les savait par cœur.
    Même ses petits points de suture, petites cicatrices.
    Elle avait la vie dure, aimait les sacrifices.

    Quel drôle de couple formaient ces deux là
    Dans leurs étreintes aux allures de trépas.
    Un soir la lame passa si près de sa belle
    Qu'elle coupa net son bustier à la bretelle.

    Quel spectacle que la blancheur de son sein
    Une goutte pourpre traça un petit dessin.
    Elle rougit mais ne bougea pas d'un millimètre.
    Lui blême recula encore de quelques mètres.

    Quand les lames glacées frôlaient son corps chaud
    Si près de sa bouche la buée perlait sur les couteaux.
    Drôle de preuve d'amour que ces baisers façon inox
    Bouquets de roses aux épines d'acier comme paradoxe.

    Elle lui rendait la monnaie par quelques frissons
    Et leur cœur battaient la chamade à l'unisson.
    Leur avenir ? Mais en avaient-ils vraiment un ?
    Elle qui ne remettait jamais rien à demain.

    Pourtant les années passaient, lui toujours son même costume,
    Elle son bustier doré, rapiécé où manquaient quelques plumes,
    Et toujours entre eux cet amour illusoire
    Aussi tranchant que la lame d'un rasoir.

    Paroles et musique Philippe Kireeff

    Télécharger MP3


    4 commentaires
  •  

    Télécharger le MP3

     

    C'est le temps qui passe

    Texte et musique Philippe Kireeff

    Accompagné par Aurélie, voix et sa guitare

    (c'est presque du live avec le manuscrit...et quelques fautes...tel que !)


    10 commentaires
  • Ecouter: "L'amour à sens unique"

     

    Elle avait un tout petit doute, qui pèse lourd

    Dans la balance des sourires

    Rien qu'un tout petit doute, mais qui en amour

    Croule sous le poids des soupirs

     

    Un petit doute c'est comme au poker

        Tu triches tu bluffes mais ça peut coûter cher

        Quand je l'embrasse, ressens le temps qui passe

        Quand il me serre, souvent je me lasse, oui me lasse

     

         C'est si dur d'aimer quand on a un doute

        C'est dur de vivre, continuer sa route

        Parler d'amour au passé, je l'aimais, oui mais

        Il est gentil mais mon désir est passé

     

         Les chaînes de ses remords se sont enfin brisées

        Je pense encore à lui mais mon esprit est léger

        Comme un doux souvenir comme nos premier baisers

        Comme nos derniers désirs quand on les partageait, car

     

        C'est doux de se sentir aimé, elles en rêvent toutes

        Pourquoi c'est si dur quand s'installe le doute

        L'amour à sens unique avait croisé sa route

        Si son cœur espère sa conscience redoute, oui redoute...

     

    Texte et musique Philocaster

    en duo avec Nath

     


    23 commentaires
  • Télécharger le MP3

    Je tâtonne de blog en blog suite à la fermeture éminente de"music blog"

    Difficile de retrouver ses marques et les complicités.

    Mon premier article, une petite compo perso à la guitare. 

    les Orres, un soir

     

    Les Orres au couchant (2014-09)

     


    10 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique